Bonjour,
vous êtes tombé sur les sous-vêtements
pour femmes
de Lisagogo.com. C'est bien que tu sois là.
En complément de la gamme de produits, quelques informations
sur
l'histoire des sous-vêtements sont
résumées ici.
Amusez-vous en lisant !
Au début se trouvait le lombaire, qui est encore courant
chez de
nombreux « peuples naturels ». Cela
s’applique
également à l’évolution
historique
contemporaine des sous-vêtements dans les grandes cultures
européennes.
Dans l'Égypte ancienne, les longues robes « riches
en
enquêteurs » étaient
utilisées comme
vêtements d'extérieur. Ainsi, le pagne a
muté en
sous-vêtement. De nombreux peuples d’Asie Mineure,
dont les
Hébreux et les Hittites, portaient des pantalons lombaires.
À l'âge du bronze, les hommes portaient
généralement une jupe jusqu'aux genoux,
enveloppée
sous la jupe. Les « Bracae » servaient
très
probablement de robe unique pour les Celtes et les tribus germaniques.
Au Moyen Âge, elle devient alors un « Bruoch
», qui
se porte désormais comme caleçon.
À l'époque de la Rome antique, les femmes et les
hommes
portaient le « subligaculum » sous la robe
supérieure. Le « fascia pectoralis »
était
également utilisé pour les femmes.
Les sous-vêtements des femmes et des hommes
étaient
mentionnés au Moyen Âge. Au XVe siècle,
les hommes
portaient des pantalons serrés et, selon toute
vraisemblance,
aucun vêtement supplémentaire n'était
porté.
Les pantalons longs arrivant jusqu'aux genoux ou aux mollets
étaient portés en Europe aux XVIe et XVIIe
siècles. Dans le même temps, il y avait aussi des
variantes en bref. Toutes les versions étaient ouvertes
à
l'arrière et maintenues ensemble par une bande à
l'avant.
À partir de 1600, les « Calecons » se
sont
répandus de l'Italie à toute l'Europe.
C'était un
caleçon jusqu'aux genoux pour les femmes. Plus tard,
probablement vers 1700, le monde masculin s'en est
approprié.
Dès lors, les femmes ne portent plus de caleçons.
Les dames du XVIIIe siècle portaient des bas, des dessous
mais
aussi des corsets. Les messieurs, en revanche, ne portaient pas de
caleçons. Au lieu de cela, ils ont mis leurs longues
chemises
entre leurs jambes. Vers 1870, les caleçons longs
étaient
confectionnés en jersey de coton ou de soie. À
cette
époque, il y avait aussi pour la première fois
une sorte
d'intervention sur les sous-vêtements pour hommes. En 1880,
Gustav Jäger présenta publiquement des
sous-vêtements
en laine.
La Révolution française a également
apporté
des bouleversements dans la mode. Les femmes qui pouvaient se le
permettre portaient désormais sous les moules transparentes
des
vêtements de la « mode à la grecque
», des
maillots, ainsi que des « pantalons » jusqu'aux
chevilles
qui regardaient sous la « chemise ». Il s'agit
d'une sorte
de caleçon long qu'on appelait aussi « Tiroirs
» ou
« plicettes ». Vers 1840, les caleçons
féminins célébraient leur marche
triomphale parmi
la population urbaine de toutes les couches. Il se composait de deux
jambes de pantalon à calflangen individuelles, qui
étaient maintenues ensemble à la taille par un
cordon.
Elle était donc ouverte à l'entrejambe.
Puis vinrent les caleçons fermés du «
mouvement
réformé » en soie, flanelle, batiste,
Musselin,
coton ou laine.
Au 20e siècle, des sous-vêtements sont
également
apparus, qui ressemblent aux sous-vêtements courants
aujourd'hui.
Aujourd'hui, il est généralement
fabriqué à
partir de tissus confortables et doux pour la peau, tels que le coton
finement côtelé ou la soie.
Et vous pouvez également les commander en ligne sur
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Les catégories suivantes de
sous-vêtements pour femmes sont disponibles :
Costumes de cosplay - vous
trouverez ci-dessous des soutiens-gorge sophistiqués.
La lingerie à la mode peut également
être
décrite comme un sous-vêtement contemporain et
décoratif.
Shapewear est un sous-vêtement qui façonne la
silhouette.
Ce ne sont plus des poignets laids de couleur peau, mais des
vêtements shapewear modernes et à la mode. Il aide
à façonner le corps et à masquer les
zones
à problèmes.
Les vêtements de nuit sont des vêtements
spécialement conçus à la maison pour
la nuit ou
les heures agréables.
Les ensembles de lingerie se composent
généralement d'un soutien-gorge à
bijoux et d'un slip.
Sujets par ex. maillots de corps, caleçons, slips, etc.
Bas et collants, par ex. chaussettes, collants, etc.
Accessoires de sous-vêtements, par ex. Push UPS,
dépôts de soutien-gorge, etc.
Les vêtements d'intérieur sont des
vêtements
confortables que l'on porte habituellement uniquement à la
maison.
Les bralettes sont des soutiens-gorge qui se passent
généralement de support et de rembourrage.
Vous
pouvez trouver les éléments de menu ci-dessus
sous une
forme illustrée sur laquelle cliquer. Si vous le souhaitez,
vous
pouvez également rechercher un article. Utilisez simplement
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d'économiser de l'argent...
Les obligations de marquage des sous-vêtements en matière de compatibilité avec la peau en France
La question de la compatibilité
des produits textiles avec la peau est devenue un sujet central en
France, notamment en ce qui concerne les sous-vêtements. En
effet, la peau étant un organe très sensible, les
produits de contact quotidien tels que les sous-vêtements doivent
respecter des normes strictes pour garantir leur sécurité
et leur confort. La législation française impose diverses
obligations en matière de marquage et d’étiquetage
des sous-vêtements afin de protéger les consommateurs
contre les risques allergiques et d'irritations cutanées. Ce
texte explore les principales exigences légales en
matière de marquage des sous-vêtements concernant la
compatibilité avec la peau, ainsi que l'importance de la
transparence pour les consommateurs.
1. Les risques liés aux sous-vêtements non conformes
Les sous-vêtements, en raison de
leur contact prolongé avec des zones sensibles du corps, peuvent
entraîner des réactions cutanées si leur
composition n’est pas correctement réglementée. Des
irritations, des allergies ou des dermatites de contact peuvent
survenir en cas de présence de substances nocives, telles que
des teintures chimiques, des métaux lourds, ou des
résidus de produits utilisés dans la fabrication des
textiles. En raison de la popularité croissante de la mode et de
la diversité des produits disponibles sur le marché, il
est essentiel que les consommateurs puissent distinguer facilement les
produits sûrs des produits potentiellement nuisibles.
2. Les obligations légales en matière de marquage et d’étiquetage
En France, plusieurs
réglementations encadrent l’étiquetage des
sous-vêtements pour garantir leur sécurité en
matière de compatibilité avec la peau. Le marquage des
sous-vêtements doit fournir des informations précises
concernant les matériaux utilisés, mais aussi les tests
de sécurité effectués sur le produit. Parmi les
principales obligations légales, on retrouve :
a) L'étiquetage des matériaux utilisés
Les fabricants sont tenus
d’indiquer clairement les matières premières
utilisées dans la fabrication des sous-vêtements. Cette
information doit figurer de manière lisible et
compréhensible sur l’étiquette. Les fibres
naturelles (comme le coton ou la laine) et les fibres
synthétiques (comme le polyester ou le nylon) doivent être
identifiées, car certaines personnes peuvent être
sensibles ou allergiques à certaines fibres ou à leurs
traitements chimiques. Le coton biologique, par exemple, est de plus en
plus prisé pour sa douceur et son faible risque
d’irritation.
b) Les tests dermatologiques et les certifications
La législation impose
également que les sous-vêtements subissent des tests
dermatologiques rigoureux. Certains fabricants doivent prouver que
leurs produits ont été testés et sont exempts de
substances irritantes ou allergènes. Les produits
certifiés peuvent porter des labels spécifiques, comme le
label Oeko-Tex Standard 100, qui garantit que le textile ne contient
pas de substances chimiques nocives pour la peau. Les marques de
sous-vêtements de haute qualité mettent souvent en avant
ces certifications pour rassurer leurs clients sur la
sécurité de leurs produits.
c) Les mentions de sécurité et de recommandations
Certains sous-vêtements peuvent
être accompagnés de mentions spécifiques pour
signaler des risques potentiels, notamment en ce qui concerne les
teintures utilisées ou les traitements anti-rides qui pourraient
irriter la peau. Les recommandations sur le lavage des produits, comme
l’utilisation d’un cycle de lavage doux ou
l’évitement de certains produits chimiques dans les
détergents, peuvent aussi être incluses pour
préserver la sécurité de l’utilisateur.
3. Le rôle des certifications et labels de qualité
Les certifications sont un moyen crucial
pour les consommateurs de s’assurer que les produits respectent
les normes de sécurité en matière de santé
et de compatibilité avec la peau. En plus des certifications de
qualité, certains labels sont particulièrement pertinents
pour les sous-vêtements :
a) Le label Oeko-Tex Standard 100
Ce label est l’un des plus connus
en matière de sécurité textile. Il garantit que le
produit a été testé contre un large
éventail de substances nocives pour la santé humaine. Les
sous-vêtements certifiés Oeko-Tex sont
considérés comme sûrs pour la peau, car ils ne
contiennent pas de produits chimiques toxiques qui pourraient causer
des irritations ou des allergies. Ce label est un gage de
qualité pour les consommateurs soucieux de la
compatibilité des produits avec leur peau.
b) Le label GOTS (Global Organic Textile Standard)
Le label GOTS est destiné aux
produits fabriqués à partir de fibres organiques. Ce
label garantit non seulement la provenance biologique des
matières premières, mais aussi que les
sous-vêtements respectent des critères stricts en
matière de sécurité pour la santé humaine.
GOTS s'assure également que les processus de fabrication sont
écologiques et qu'aucune substance chimique nocive n’a
été utilisée.
c) Le label hypoallergénique
Certains sous-vêtements sont
spécifiquement conçus pour les personnes ayant une peau
particulièrement sensible ou sujette aux allergies. Ces produits
portent souvent le label « hypoallergénique », qui
indique qu'ils ont été fabriqués en minimisant le
risque de provoquer des réactions allergiques.
4. La transparence et l’importance pour les consommateurs
La transparence dans
l’étiquetage des sous-vêtements est essentielle pour
garantir la confiance des consommateurs. En fournissant des
informations claires et accessibles sur les matériaux, les
traitements chimiques et les certifications, les fabricants permettent
aux consommateurs de faire des choix éclairés.
L'information concernant la compatibilité des
sous-vêtements avec la peau, bien que parfois complexe, est
cruciale pour assurer la santé et le confort des utilisateurs.
Les consommateurs peuvent ainsi choisir des produits plus
adaptés à leur type de peau, réduisant les risques
de réactions cutanées.
De plus, cette transparence renforce la
concurrence entre les fabricants, incitant ces derniers à
améliorer la qualité et la sécurité de
leurs produits. Les consommateurs de plus en plus soucieux de
l’environnement et de leur santé, notamment en raison des
allergies de peau qui se multiplient, privilégient de plus en
plus des produits certifiés et vérifiables.
5. Les défis et les perspectives d’avenir
Bien que la législation actuelle
offre un certain niveau de protection, des défis demeurent dans
le domaine de la régulation des sous-vêtements. Par
exemple, il est souvent difficile de garantir que tous les produits
importés respectent les mêmes normes que ceux
fabriqués en France ou dans l'Union européenne. De plus,
de nombreux produits importés de pays non européens
peuvent ne pas être soumis aux mêmes exigences strictes en
matière de sécurité.
L'avenir pourrait voir un renforcement
des réglementations, notamment en matière de
traçabilité des produits, afin de garantir que les
sous-vêtements ne contiennent pas de substances dangereuses pour
la santé. La mise en place de contrôles de
sécurité plus stricts et la promotion de labels de
qualité supplémentaires pourraient également
contribuer à améliorer la sécurité des
produits sur le marché.
Conclusion
Les obligations de marquage des
sous-vêtements en matière de compatibilité avec la
peau sont essentielles pour protéger la santé des
consommateurs et garantir la qualité des produits. En France,
les étiquettes doivent informer les consommateurs sur les
matériaux utilisés, les tests dermatologiques
effectués et les certifications de sécurité.
Grâce aux labels comme Oeko-Tex ou GOTS, les consommateurs
peuvent faire des choix éclairés et réduire les
risques d’allergies et d’irritations cutanées. Il
reste cependant des défis à relever pour renforcer encore
la sécurité des produits, mais les progrès
réalisés jusqu’à présent sont
prometteurs.
Literature recommendations:
- "Textile et santé : Guide des risques et des protections" par Isabelle Rousset
- "L'impact des produits chimiques dans les textiles" par Laurence Chapelet
- "Les normes de sécurité dans l'industrie textile" par Jean-Pierre Chassard